Banquier. Vol. 3. Le tyran

Ce tome conclut la trilogie qui suit Cato et Siena. Je vous avoue être contente que ce soit le cas. J’ai bien aimé cette histoire, mais l’événement du tome 2 m’a quand même vachement refroidie. Ce tome était assez plat, il ne s’y passe pas grand chose. La présence de la mafia a été presque effacée, et on suit une vraie histoire de famille, c’est comme un long épilogue. Ç’aurait été sympa si j’avais adoré la saga dès le début, ce qui n’était pas nécessairement le cas même si je passais un bon moment. Je pense que ce n’était pas une histoire pour moi, en outre, malgré ses qualités, son originalité, la plume, et le plot twist du tome 1. C’est dommage que la suite n’ait pas été au même niveau ! ⭐️⭐️

⚠️Cette histoire est une dark romance⚠️ Cette trilogie m’intriguait beaucoup et ma lecture du premier tome fut assez mitigée. J’étais quand même très curieuse de découvrir la suite pour connaître le dénouement de cette histoire. Et je pense que cette trilogie n’est tout simplement pas faite pour moi. Je suis assez déçue, car j’attendais beaucoup de cette lecture et pour être tout à fait honnête, je ne pensais pas que je n’aurais pas apprécié ma lecture comme je l’espérais. Le second tome n’a pas réussi à me transporter et je dois dire que les scènes de smut, qui sont beaucoup trop présentes selon moi ont été un frein dans ma lecture. C’est le dernier tome que j’aie le plus apprécié, grâce à tous les rebondissements présents dans ce tome ainsi que par l’intrigue, j’ai été plus captivée par l’histoire ainsi que par les personnages. Concernant les protagonistes, Siena se montre toujours aussi forte, courageuse et prête à tout pour prouver à Cato qu’elle l’aime et qu’il peut avoir confiance en elle. Quant à Cato, il va évoluer et devenir un homme qui va dévoiler de plus en plus ses sentiments auprès de ceux qu’il aime. J’ai adoré les personnages de Landon, le frère de Siena et Giavonni, l’homme de maison de Cato. Je suis malgré tout ravie d’avoir découvert cette trilogie, qui j’en suis sûre, trouvera son public.