Les dernières heures

La Mort Noire ou Peste à touché l'Europe au Moyen-Âge. Elle a décimé les populations et personne ne savait quoi faire. Minette Walters y rajoute un meurtre. L'histoire en elle-même est intéressante, mais ce que je lui reproche se sont ses quelques longueurs inutiles. Un autre reproche, c'est qu'il n'est indiqué nul part que c'est une saga et que la fin de ce premier tome appelle une suite. Je conseille parce que j'ai aimé l'histoire, même si j'ai peiné à le finir.

J’avais très peur de me lancer dans un roman historique se passant en 1348… J’ai adoré, l’auteure nous plonge dans ces années noires avec un suspense qui tient en haleine. La condition des paysans et du servage, la cruauté de certains nobles, tout y est…

Un temps où la peste est arrivée en Angleterre. On connaît tous plus ou moins la peste du grand Camus mais ici toute autre époque, tout autre continent. Vraiment difficile de lâcher le livre, le style de l’auteur m’a directement happée. Je lirai très certainement le tome 2 lorsqu’il sortira en poche et je pense me pencher sur les autres œuvres de cette autrice

Je ne connaissais pas l'auteure, et bien maintenant j'ai envie de lire tout ce qu'elle a écrit. Ce roman est magistral. L'écriture est parfaite, l'histoire prenante, les personnages attachants (même les pires). Paru il y a quelques années, avant l'épidémie de Covid, je ne l'ai lu qu'en 2021 et il prend tout son sens : l'ignorance de la population face à un virus / une maladie dont on ne sait rien, les élites qui pensent savoir mais en fait... non, quelles méthodes appliquer pour éviter d'être contaminé... Finalement une petite prise de conscience sur l'actualité et surtout l'évolution médicale des derniers siècles. Cependant, on peut largement oublier le parallèle avec ce que l'on vit actuellement, c'est un excellent roman que je ne peux que conseiller ! Une très belle découverte.

Nous voilà plongé dans l’Angleterre du XIVe siècle. Et plus principalement dans un comté où la femme du seigneur considère les serfs comme ses semblables et qu’en leur donnant les bases de l’éducation dont on les prive volontairement ils pourront vivre libre . Tout cela va s’accélérer avec l’arrivée du mal qui décime les gens sans prendre en compte le rang social . Une ode à l’égalité des chances .