Des visages et des morts

Reçu dans le cadre de l'opération Masse critique priviliegiee par Babelio, que je remercie vraiment. Milan, lieutenant a la police juduciaire de Dijon recu un appel de Louise, la mére de son meilleur ami : Sébastien est mort lui dit-elle. Son sang ne fit qu'un tour, son ami de toujours, as était assaainée, une seule idée, rejoindre l'enquête, mais c'est la police judiciaire de Lyon qui s'en occupe, il faut qu'il persuade son supérieur de lui autoriser, pour ça, il en viens jusqu'au chantage, ou bien il collabore a cette enquête ou bien il quitte l'univers de la police, il céde, il lui donne une semaine, cette enquête dura bien plus longtemps. Laura EPOSITO capitaine de la police judiciaire de Lyon et Milan DACOURT ont fait connaissance autour du cadavre de SEBASTIEN dans la salle d'autopsie, drôle de rencontre, pour un début d'enquête. Entre temps une nouvelle victime va etre découverte a Bruxelles en Belgique, le commissaire Hugo ADAMI sera dépéchait sur place, une femme éventrée et son visage complétement délabrée, ça lui rappelle, une enquête 25 ans plus tot, d'un meurtrier en série qu'on avait surnommée LE BORGNE, maintenant il le sait cette enquête seras différente, et vas l'emmener dans les affres du passé. Laura et Milan se rendait a Lille ou Sébastien vivait avec sa compagne Christine, qui retrouvait, elle aussi morte de peur, d'effroi, ça se lit sur son visage, qu'est qui as pu lui faire aussi peur ? La mort ? S'est elle vu mourir ? De fil en aiguille, le duo d'enquêteurs, découvrirent une video que Sébastien avait tourner, c'était le meurtre de la victime de Bruxelles, Marie CHARTON, Laura pu regarder le supplice jusqu'au bout mais Milan réussit et au cours de la nuit, décida de poursuivre l'enquête tout seul, et décida d'aller au domicile de cette victime, mais il recu un coup de poing et se retrouva a l'hopital, c'est la qu'il fit connaissance avec le commissaire Hugo ADAMI. Apres mis tout en commun les informations, il décida de collaborer, Richard DECLERC le collégue d'Hugo, lui annonca un autre meutre a Bruxelles, tout ce petit monde décida de s'y rendre. Les quatres enquêteurs vont jalloner Bruxelles a la recherche de la clé de cette histoire et vont aller de découvertes en stupéfaction, mais ils seront en aucun cas prêt a découvrir la réelle vérite. Seront ils assez fort et compétent pour s'en sortir indem ? Thriller qui m'as fait penser par certains aspects, a du <a href="/auteur/Maxime-Chattam/2038" class="libelle">CHATTAM</a>, une enquête trés addictive, ou on est que surpris de chapitres en chapitres. J'ai beaucoup aimer la plume de l'auteur, qui se concentre sur l'enquête, evidemment, mais aussi sur la psychologie des personnages, d'abord, comment quand divers enquêteurs sont sur même affaire sont pas d'accord, comment il s'en sortent ? Et aussi l'enquête est pas parfaite, ils font des erreurs, ils piétinent, ça donne du suspens de l'elan au récit, pour nous faire comprendre que tout n'est simple, les policiers sont aussi des être qui ne sont pas parfaits, mais ce qui m'as vraiment beaucoup plue, c'est le traumatisme de l'ancienne affaire qui va se lier a la nouvelle du commissaire Hugo ADAMI, c'était reellement passionnant. La fin est exceptionnelle et surtout vraiment pas devinable, et apprecier aussi ce couple d'enquêteurs qui se découvre et qui vont finir par s'apprecier et se donner coprs et ame pour découvrir le meurtrier

Au delà du suspens, de l'horreur, de l'enquête qui prend aux tripes et des rebondissements qu'offre ce roman, l'auteur dresse un constat qui nous est difficile de nier: "seule la voie du sang permet de frapper à jamais les consciences, d'être sous le feu des projecteurs. [...] on oublie les victimes, mais jamais les monstres.". Et pour cause : les thrillers sanglants et témoignages de tueurs en série se multiplient et nous fascinent. En se contentant de lire ce genre de récit, on se rassure en se disant qu'on garde une certaine forme de distance avec cette noirceur qui nous attire tant: on y plonge, on y goûte mais qu'à travers des écrits... Mais soyons honnêtes: en chacun de nous se cache peut être un enfant d'Érostrate...