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Résumé
Recueil de textes de littérature, de musique, de philosophie, ce livre en contient plusieurs de diverses formes, mais tenus par la cohérence d'une unique question : la manifestation de l'Essentiel au coeur de l'art. De Bach à Brahms, de Mozart à Mahler, de Beethoven à Bruckner, de Rimbaud à Céline, de Joseph de Maistre à Valéry, de Pascal à Nietzsche et Heidegger, on n'y trouvera guère d'opinions communément admises sur ces sujets qui apparaissent ici comme autant de variations sur le thème de l'Unique. A rebours de ce que dogmatise le relativisme d'époque, Maxence Caron montre, en une langue aussi musicale que son contenu, comment la liberté inscrite au sein de l'oeuvre d'art fait de celle-ci l'expression d'un Sens universel qui relie l'homme à la Vérité. Ces Pages sont paradoxes, elles s'écrivent à l'ère où l'on veut et finit par croire naturelles les cloisons entre les différentes et libres actions créatrices de l'esprit, entre la pensée, la littérature et l'art, bien que toutes respirent en une même oeuvre vivante qu'il faut accueillir et qui est l'expression multiforme de la relation de l'homme à l'Essentiel. L'unité du coeur d'homme est en quête du Sens, dans le refus des impostures et existant, s'il le veut, dans la profuse et mystérieuse proximité du Beau. La Vérité attire les oeuvres de l'art comme expression de Son incarnation : le Sens est épandu parmi la musique et les mots - ces mots et ces sons mêlés qui, dûment orchestrés, sont littérature dans la musique de la pensée. Découvrant le centre caché dont rayonne mainte littérature ou mainte partition que l'on croit connues, bouleversant les approches littéraires ou musicologiques contemporaines, l'auteur fait vibrer dans l'infini d'un même espace de résonance, le Sens, la musique et les mots.