Dans la mansarde

Beaucoup moins bien que Le Mur invisible de la même autrice, je l’ai lu en plusieurs fois parce qu’il m’ennuyait un peu. Pas nul mais pas captivant.

Essentiellement sous la forme d’un monologue intérieur, une quinquagénaire nous livre son quotidien routinier d’épouse et de femme au foyer. Moins fort que Le mur invisible, un autre roman de Marlen Haushofer, celui-ci étonne néanmoins par sa modernité. Les questionnements, les déclarations sur la condition féminine émergent dans la mansarde où se réfugie l’héroïne. Mansarde qui semble être une métonymie de la psyché de cette dernière.