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Résumé
Marcel Proust Un amour de Swann « Swann, lui, ne cherchait pas à trouver jolies les femmes avec qui il passait son temps, mais à passer son temps avec les femmes qu'il avait d'abord trouvées jolies... « Quand un jour au théâtre il fut présenté à Odette de Crécy par un de ses amis d'autrefois, qui lui avait parlé d'elle comme d'une femme ravissante avec qui il pourrait peut-être arriver à quelque chose... elle était apparue à Swann non pas certes sans beauté, mais d'un genre de beauté qui lui était indifférent, qui ne lui inspirait aucun désir, lui causait même une sorte de répulsion physique, de ces femmes comme tout le monde a les siennes, différentes pour chacun, et qui sont l'opposé du type que nos sens réclament. » Un amour de Swann forme à lui seul un roman de la passion et de la jalousie d'une prodigieuse analyse, douloureuse et humaine, où l'amour démasque l'acteur et montre l'homme, l'amant, dans sa vérité et ses faiblesses. Oserai-je la comparer, cette étude, à l'immortel Adolphe oe J.-E. Blanche, L'écho de Paris, 15 avril 1914.Marcel Proust Un amour de Swann « Swann, lui, ne cherchait pas à trouver jolies les femmes avec qui il passait son temps, mais à passer son temps avec les femmes qu'il avait d'abord trouvées jolies... « Quand un jour au théâtre il fut présenté à Odette de Crécy par un de ses amis d'autrefois, qui lui avait parlé d'elle comme d'une femme ravissante avec qui il pourrait peut-être arriver à quelque chose... elle était apparue à Swann non pas certes sans beauté, mais d'un genre de beauté qui lui était indifférent, qui ne lui inspirait aucun désir, lui causait même une sorte de répulsion physique, de ces femmes comme tout le monde a les siennes, différentes pour chacun, et qui sont l'opposé du type que nos sens réclament. » Un amour de Swann forme à lui seul un roman de la passion et de la jalousie d'une prodigieuse analyse, douloureuse et humaine, où l'amour démasque l'acteur et montre l'homme, l'amant, dans sa vérité et ses faiblesses. Oserai-je la comparer, cette étude, à l'immortel Adolphe oe J.-E. Blanche, L'écho de Paris, 15 avril 1914.Marcel Proust Un amour de Swann « Swann, lui, ne cherchait pas à trouver jolies les femmes avec qui il passait son temps, mais à passer son temps avec les femmes qu'il avait d'abord trouvées jolies... « Quand un jour au théâtre il fut présenté à Odette de Crécy par un de ses amis d'autrefois, qui lui avait parlé d'elle comme d'une femme ravissante avec qui il pourrait peut-être arriver à quelque chose... elle était apparue à Swann non pas certes sans beauté, mais d'un genre de beauté qui lui était indifférent, qui ne lui inspirait aucun désir, lui causait même une sorte de répulsion physique, de ces femmes comme tout le monde a les siennes, différentes pour chacun, et qui sont l'opposé du type que nos sens réclament. » Un amour de Swann forme à lui seul un roman de la passion et de la jalousie d'une prodigieuse analyse, douloureuse et humaine, où l'amour démasque l'acteur et montre l'homme, l'amant, dans sa vérité et ses faiblesses. Oserai-je la comparer, cette étude, à l'immortel Adolphe oe J.-E. Blanche, L'écho de Paris, 15 avril 1914.Marcel Proust Un amour de Swann « Swann, lui, ne cherchait pas à trouver jolies les femmes avec qui il passait son temps, mais à passer son temps avec les femmes qu'il avait d'abord trouvées jolies... « Quand un jour au théâtre il fut présenté à Odette de Crécy par un de ses amis d'autrefois, qui lui avait parlé d'elle comme d'une femme ravissante avec qui il pourrait peut-être arriver à quelque chose... elle était apparue à Swann non pas certes sans beauté, mais d'un genre de beauté qui lui était indifférent, qui ne lui inspirait aucun désir, lui causait même une sorte de répulsion physique, de ces femmes comme tout le monde a les siennes, différentes pour chacun, et qui sont l'opposé du type que nos sens réclament. » Un amour de Swann forme à lui seul un roman de la passion et de la jalousie d'une prodigieuse analyse, douloureuse et humaine, où l'amour démasque l'acteur et montre l'homme, l'amant, dans sa vérité et ses faiblesses. Oserai-je la comparer, cette étude, à l'immortel Adolphe oe J.-E. Blanche, L'écho de Paris, 15 avril 1914.