Le pays où l'on revient toujours

«Kirsty Gunn [...] choisit aujourd'hui la nouvelle pour remodeler la matrice qui l'obsède : l'enfance, le passé, le paradis perdu auquel il est impossible de jamais renoncer. [...] Rares sont les œuvres où le problème de l'écriture féminine est posé de façon aussi frappante, où l'attachement au corps maternel apparaît avec tant d'obsession, et avec lui, le dilemme du ventre fertile ou du verbe fécond.» Béatrice Pire, Les Inrockuptibles «Les nouvelles de Kirsty Gunn sont tout autant de tableaux qui fixent à jamais des sentiments et des instants d'une grande violence, larvée ou bien réelle. Le Pays où l'on revient toujours affine encore l'écriture minutieuse de cette singulière Néo-Zélandaise.» Alexandre Fillon, Le Figaro Madame