Les yeux jaunes des crocodiles

C'est grâce à ce livre qu'est né mon amour pour Pancol (j'ai lu presque tous ses autres romans depuis). Des personnages terriblement humains, un style propre à elle seule, des phrases à couper le souffle par moment. J'adore, je l'ai lu d'une traite ❤️

C’est le premier roman de Me Pancol que j’ai lu. J’aime ses histoires avec ses personnages récurrents. C’est des histoires de nos vies avec beaucoup d’optimisme. Son écriture est simple mais ses récits sont bien construit. J’en ressort toujours de bonne humeur après une lecture d’un roman de Me Pancol.

La couverture m’a piégée, ce livre paraissait léger et amusant, il était lourd et forcé. L’histoire est plate et prévisible, les personnages sont fatiguants. Ce n’est pas non plus une abomination mais je l’ai lu sans intérêt.

Comme je n’aime pas ne pas terminer un livre, je me force à lire Les yeux jaunes des crocodiles. Je lis habituellement 1 livre par semaine. Là...j’y suis depuis septembre dernier... et je ne suis qu’à la page 336/661. Il est pourtant bien, d’un style facile, mais tellement long, tellement long...

Ce roman raconte la remise en question de deux sœurs dont les mariages sont en péril. C'est l'histoire de l'ascension de Joséphine et la chute d'Iris. Mais ce sont également les histoires d'une multitude d'autres personnages colorés et attachants. La grande force de ce roman est clairement sa galerie de personnalités qu'on aime et déteste avec force. Un point qui m'a cependant interloqué : un discours revient très souvent dans le livre, celui de la minceur associée à la beauté. Il est indiqué plusieurs fois que Joséphine devient mince donc elle devient belle, que si on est grosse on est moche etc etc. Le livre a été écrit en 2006 donc je pense qu'il reflète le culte de la minceur des années 2000 mais c'est une mentalité qui m'a quand même interrogé.