La chronique des Bridgerton. Vol. 7. Hyacinthe

J’ai bien aimé tout le côté enquête et personnalité très forte de Hyacinthe

Ayant un aperçu de la personalité de Hyacinthe dans les tomes précédents, j'avais hâte de découvrir l'adulte qu'elle était devenu, et elle m'a conquise. Avec son caractère affirmé, Hyacinthe a noué une amitié avec Lady Danbury. Les appartions de la vieille dame ainsi que ses interractions avec les autres personnages nous enchantent. De plus, Lady Danbury n'est autre que la grand mère de Gareth. Celui-ci possède une relation compliqué avec son père et si tout le monde semble au courant, ils ignorent les raisons de ce conflit. J'ai beaucoup aimé cet aspect de l'histoire, ainsi que l'intrigue autour du journal. Gareth entretient au départ donc une relation polie et cordiale avec Hyacinthe. Leur famille, en plus de ce mystérieux journal, les encouragent à se fréquenter, pas toujours de façon très subtile. Ils vont donc finir par se rapprocher. Et j'ai adoré la tournure des évènenements ainsi que le changement dans leur sentiment, on ne sait pas vraiment quand exactement ni pourquoi ce changement à lieu mais il donne une toute autre ambiance au livre et à partir de ce moment là impossible de lâcher le roman.

Bonjour à tous amis lecteurs, Hier soir, j’ai terminé Les Chroniques de Bridgerton 7 : Hyacinthe de Julia Quinn. Hyacinthe est la dernière fille Bridgerton à marier, et la moins facile de part son franc parlé et son caractère bien trempé. Gareth Saint Clair est un jeune homme de la haute société, futur baron de Saint Clair, en froid radical avec son père. Il est aussi le petit fils de Lady Danbury. Lady Danbury a choisi Hyacinthe comme dame de compagnie et dame de lecture, et lady Danbury a pour secret projet de marier Hyacinthe et Gareth, persuadée qu’ils sont faits l’un pour l’autre. C’est un journal intime, en italien, qui va rapprocher et lier Gareth et Hyacinthe. Le jeune homme l’a en héritage de sa grand-mère paternelle qui destine à sa descendance un coquet trésor de diamants. Gareth ne sait vers qui se tourner pour la traduction et va donc voir sa grand-mère maternelle : Lady Danbury, qui elle ne lit pas l’italien. Ce qui n’est pas le cas de Hyacinthe. La jeune femme se lance dans la traduction de même que dans la chasse au trésor. De déconvenues en surprises et secrets, Julia Quinn nous offre l’avant dernier volet de la saga. Après un tome décevant sur Francesca, je retrouve avec bonheur la légèreté de la plume et le rythme que Julia Quinn nous offrait jusque-là. Ici, pas de tergiversation, à cause du caractère de Hyacinthe, pas de faux semblants et plus de clairvoyance que dans les autres. La benjamine est une vraie tête de mule qui trouve son égo dans Gareth: ce tome est tout aussi savoureux que celui sur Anthony, c’est une pépite. Lady Danbury est très présente dans ce tome également, et je m’attache énormément à elle, quand je serais vieille, je voudrais être exactement comme elle. Quant aux deux tourtereaux : tel est pris qui croyait prendre. Je suis ravie de ce roman. Il est facile et fait un bien fou au moral. Si vous regardez la série Netflix : arrêtez tout de suite et prenez d’assaut cette saga livresque !