La popularité de ce livre sur Gleeph
Résumé
Depuis des années, et surtout depuis le Sommet de Seattle en 1999, ce sont les militants antimondialistes qui ont dominé le débat sur la mondialisation dans les médias francophones. Elle serait selon eux responsable de la pauvreté dans le tiers monde, des crises économiques, du chômage, de l'oppression des femmes, de la pollution, des problèmes de financement de l'éducation et d'à peu près tout ce qui va mal dans nos sociétés. Même si la plupart des décideurs du monde de l'économie et de la politique sont favorables au phénomène de la mondialisation, les intellectuels qui se sont portés à sa défense se comptent sur les doigts de la main. Ce livre de Johan Norberg est en fait le premier essai en faveur de la mondialisation capitaliste à avoir atteint une audience internationale. Utilisant de nombreuses statistiques et des arguments économiques accessibles au lecteur non spécialiste, l'auteur démontre que l'ouverture au commerce et aux flux financiers internationaux est un facteur de progrès, surtout pour les plus pauvres de la planète. Il réfute de façon systématique les arguments des adversaires du libre-échange et du capitalisme. Ce texte, déjà traduit en sept langues, a connu un grand succès international. «[Norberg] démasque un à un les arguments fallacieux et les statistiques partielles qui sont utilisés par les militants anticapitalistes.» Financial Times.