J'aimerais tant que tu sois là

Avec "j"aimerais tant que tu sois là" l'autrice nous emmène sur l'île Beatriz aux Galapagos. Nous suivons Diana, trentenaire new-yorkaise qui débarque seule sur l'île, son petit-ami devant rester à l'hôpital pour gérer avec ses collègues la crise Covid.  Avec sa plume immersive, l'autrice nous dépeint des paysages magnifiques et luxuriants, elle arrive à nous embarquer avec Diana dans son périple sur cette île à la rencontre des otaries, des fous aux pieds bleus, gravir les montagnes et les volcans. A première vue on pourrait penser que c'est un roman sur un voyage mais c'est bien plus que cela. C'est avant tout une introspection sur soi, sur sa vie et sur ces choix. Sur fond de covid 19, Diana remet peu à peu sa vie en question, est-ce qu'elle a réellement envie de continuer ce qu'elle fait ? Est-elle à sa place ? L'écriture de Jodi Picoult est habile, ses personnages sont finement travaillés psychologiquement et elle arrive à nous faire ressentir toutes les émotions qu'ils traversent.  J'ai trouvé les passages avec la maman de Diana très émouvants, une maman atteinte de la maladie d'Alzheimer. Si vous n'êtes pas rebutés par le fait de revivre cette période Covid je vous invite à voyager à travers ce roman et à découvrir ce qu'il s'y cache à la moitié de celui-ci.

😷 Je préfère en général les versions poche mais je n'ai pas pu attendre 🤭 Mon impatience a payé car Jodi Picoult a une fois de plus réussi à me surprendre et j'ai adoré la fin 😍 😷 "On ne peut pas choisir sa réalité mais on peut la transformer " L'histoire a été écrite en 2020 pendant le covid. Diana a tout pour être heureuse, le job et le petit ami de ses rêves. Finn est interne en médecine. Ils projettent de partir en escapade en amoureux aux Galapagos mais en ce début 2020, Finn se retrouve réquisitionné à l'hôpital et doit donc rester à New-York... Il insiste alors pour que Diana parte sans lui ... 😷 Je n'en dirai pas plus car moins on en sait plus grande est la surprise 🤫 Tout ce que je peux vous dire, c'est que ce n'est absolument pas une histoire à l'eau de rose ... 😷 Jodi Picoult, égale à elle-même, a l'art de maîtriser son sujet, tout en nous faisant découvrir des paysages magnifiques, elle rend un très bel hommage aux soignants qui ont tant fait pendant le covid ainsi qu'à chaque personne qui a été frappée de près ou de loin par ce maudit virus 😷❤️

Quand on a lu le résumé et le début du roman, on s'attend un peu à la suite...... et tout à coup, gros revirement de situation ! Très belle écriture et on se pose de sacrées questions !

Après avoir littéralement dévoré parce que adoré la mémoire des éléphants grosse déception avec ce livre trop long pour rien peu intéressant J attends le prochain jodie !!!!!

Il m’est assez difficile d’écrire une critique sur ce roman… Je ressors de cette lecture avec un sentiment assez mitigé. J’avais adoré La tristesse des éléphants, que je place dans mes livres favoris de tous les temps (sans aucune once d’exagération). Ici, je n’ai pas ressenti l’émotion que j’espérais. Je n’ai pas su m’attacher aux personnages. Il m’a manqué un quelque chose tout le long du récit… Un je-ne-sais-quoi qui m’a laissée un peu hermétique. Diane, trentenaire à la vie organisée et toute tracée, se voit bousculée dans son quotidien lorsqu’elle “décide” de partir en voyage seule, avec les encouragements de sa tendre moitié qui l’y incite fortement. Elle se retrouve donc sur une île isolée, fermée, en pleine pandémie, seule face à elle-même. Loin de ses repères, elle va apprendre à s’ouvrir aux autres, à apprécier le calme et la paix, à savourer les paysages exotiques… Loin du tumulte de la ville, loin de ses aspirations professionnelles et sentimentales. Elle rencontre des insulaires avec qui elle se lie et vient pour elle le temps des remises en questions… En fait, toute la première partie (qui compose plus des deux tiers du roman), m’a paru assez longue, bien qu’agréable à lire, car je ne voyais pas où cette lecture menait. Il y avait en moi ce petit “oui, mais ?”. J’aspirais à quelque chose de plus profond… On en apprend beaucoup sur les Galapagos, sur le domaine de l’art, on sent que l’autrice a fait de véritables recherches sur son sujet, qu’elle le maîtrise, et c’est appréciable ! On voyage, on s’évade mais. Puis, retournement de situation. Redistribution des cartes. Et finalement, je suis restée sur ma faim. J’en aurais voulu plus. Mais je pense qu’il s’agit vraiment de moi, je partais avec certaines exigences. En bref, c’est un livre agréable à lire, à condition que vous plonger en pleine pandémie Covid ne vous évoque pas de mauvais souvenirs, car cette période prend une grande place dans le récit. Il faut tout de même en être averti.