Ne nous quittons pas

Ce livre témoigne d'un souvenir heureux qu'a eu l'auteur avec son père, un père qu'il ne voyait pas souvent et qui, avec ses yeux d'enfant, était un super héros. Jacquot est attachant et a un côté naïf qui provoque le côté protecteur du lecteur. Alors, on en vient malgré nous, à en vouloir à ce père vantard, coureur de jupons et menteur... Il est vrai que Jean est misogyne et que les femmes ne servent pour lui qu'à la sieste. Je cite: "si tu connais des gonzesses pas farouches, fait moi signe. " Parfaitement l'homme détestable : il l'est d'ailleurs selon son ex femme et sa fille. Mais, dans le fond, il a bon coeur et est remis à sa place par son ami: " Brel" à la fin du livre.

Roman sans intérêt. La femme est relégué au rang d'objet dans ce livre. On ne parle que de leurs seins leurs formes et leurs fesses. L'auteur est très discriminant dans sa vision des femmes. Je cites : " ce n'était pas la beauté des femmes qu'ils évaluaient puisqu'il y avait des grosses qui avaient droit à ce qu'ils appelaient un super A" J'en conclu donc que pour lui, une grosse ne peut pas être belle... J'ai eu bien du mal à finir ce roman que je n'ai pas du tout apprécié