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Résumé
Le goût de la vie commune « Je suis spontanément conjugaliste. J'apprécie que les amours durent, que les malentendus se dissipent et que les écarts se pardonnent. J'aime que les dépits se dépassent, que les séparés se retrouvent et que personne ne meure à la fin. Donc je suis souvent déçue. Les gens n'arrêtent pas de mourir ; cela ne les retient pas une seconde de se fâcher à mort auparavant. » Dans ce précis de l'attachement à contre-courant de l'air du temps, Claude Habib défend avec humour les vertus de l'ennui qui suit presque immanquablement l'effervescence de l'amour. L'extase, et après ? Battant en brèche les préjugés, elle livre un éloge combatif du charme discret de la vie à deux : et si, plutôt que de chercher dans le couple un remède à l'ennui, il valait mieux se faire à sa douceur familière ?