Et la vie reprit son cours : 1967-1979

Ce troisième tome de la saga « Les déracinés » est plus axée sur l’amitié entre Ruth et Lizzie... l’histoire de la République dominicaine qui est plus présente dans ce tome. Il est plus léger aussi malgré les remous de l’histoire. Un très joli moment de lecture on j’ai retrouvé avec plaisir la tribu Rosenheck !

Continue mais elle s essouffle un peu. Ce 3eme tome m a un peu déçue.

Ravie de continuer cette saga, on s’attache tellement aux personnages

Toujours aussi passionnant , en lisant la suite de cette saga vous vous imaginez sur cette île ensoleillée avec cette famille.

Après avoir vécu aux États-Unis, puis en Israël, Ruth dépose ses valises chez elle, en République Dominicaine. La jeune femme, maman de la petite Gaya souhaite se construire une vie qui la satisfait. Et il n'y a qu'à Sosua que la jeune femme se sent chez elle. Lors d'une visite d'Arturo, Ruth fait la connaissance de son frère Domingo, qui va bouleverser le cours de son existence. 📗MON AVIS : Un an après avoir lu le tome 1 de la saga "Les Déracinés", je plonge dans le tome 3, avec l'envie et la curiosité de connaître la suite des aventures de la famille Rosenheck. Ici, tout comme dans le tome précédent, le narrateur principal est Ruth, qui nous confie son histoire à la 1e personne, ce qui fait que j'ai tout de suite été immergée dans l’histoire, avec le sentiment d'être un membre de la communauté à part entière. Dans ce volet, l'autrice nous raconte l'évolution de Ruth dans le début de sa vie d'adulte de femme, de mère, puis d'épouse. Bien évidemment, l'histoire d'Almah, sa mère est étroitement liée à celle de sa fille. Tout comme l’âme de Wilheim, parti beaucoup trop tôt, plane énormément sur ce tome. J'ai beaucoup aimé que l'autrice imbrique son intrigue dans des faits historiques. Et d'ailleurs, la situation de l'État d'Israël de l'époque fait incroyablement écho à la situation actuelle. J'ai de nouveau dévoré ce 3e tome et je peux vous dire que j'ai bien hâte de lire le dernier volet pour que la boucle soit bouclée. 📗CITATION : "... moi née au cours de la pire extermination de l'Histoire, moi qui appartenait à une nation où le racisme ordinaire était beaucoup plus insidieux qu'aux États-Unis..."