Vends maison où je ne veux plus vivre

«Les récits corrosifs qui composent Vends maison où je ne veux plus vivre montrent une fois encore le talent de conteur de Hrabal, écrivain nostalgique d'une Prague brillante et intellectuelle et poète de la vie quotidienne. Le viol d'une femme éméchée, l'agonie d'un groupe de vieillards, les souffrances d'un infirme, la bohème des années vingt, autant d'histoires monstrueuses et belles, où le rire le plus franc nuance la misère humaine.» Christophe Guias, Le Point «Un très grand art, après le passage duquel on ne sait ce qui reste encore d'indemne en nous.» Alain Bosquet, Le Quotidien de Paris