L'absinthe perd nos fils : florilège
Benoît Noël
Essais littéraires
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Résumé
«Noé a sauvé nos pères, mais l'absinthe perd nos fils» (...) 1905. Plante médicinale, élixir, ou apéritif à la réputation sulfureuse entre 1797 et 1915, l'absinthe a fait couler beaucoup d'encre. Ce florilège déroule le panorama illustré des romans, pièces de théâtre, poésies, chansons, tableaux ou films ayant célébré ou dénigré la fée verte. Il établit les comparaisons indispensables avec les autres drogues en vogue au XIXe siècle : haschisch, cocaïne, morphine, éther ou opium. Il analyse également les rapports avec les boissons rivales à la quinine, aux extraits de feuilles de coca, à la noix de kola, ou avec les vins cuits, vermouths, chartreuses et génépis. Enfin, il reconstitue la véritable histoire des boissons anisées en France de la Marie Brizard (1755) à l'Absente (2000). Ce livre est le quatrième ouvrage dans lequel Benoît Noël analyse la Fée verte. Chronologique et synthétique, il croise la critique historique, sociologique et artistique sans négliger le suspens et l'humour. Il commence par la Bible, et finit avec elle, après avoir retracé 3000 ans d'histoire.