La brûlure du chocolat

Barbara Abel nous offre un titre énigmatique, une couverture alléchante et une histoire au suspens passionnant. Son écriture est dynamique, son style franc et direct avec une pointe d’humour malgré le thème sensible qu’est l’amnésie. On dévore le roman comme une tablette de chocolat. Un vrai moment de plaisir !

AUTEUR : Barbara Abel TITRE : La brulure du chocolat. 324 Pages Tiens une relecture! Je n'ai pas perçu le roman comme la première fois, pas du tout le même ressenti. Comme c'est drôle ! Le roman , une fois pris , tu ne peux plus le lâcher, tellement les événements sont rapides. Tu veux connaitre la vérité de l’héroïne donc , prends une tablette de chocolat avec toi ! Le style est fluide, ce qui convient très bien à ce roman . C'est une jolie leçon de vie à une époque où les gens cherchent à faire le point. Et si l'amnésie était l'une des meilleures solutions ? "Zoé Letellier est une jeune écrivaine dont le succès dépasse les frontières.Tout le monde se retourne sur elle dans la rue, lit sa vie dans les magazines, bref, tout le monde la connait sauf elle..."

Comme d’habitude, Barbara Abel nous emporte dans son univers pour passer un bon moment avec du suspens pendant tout ce roman.

Très chouette histoire avec des personnages sympathiques et attachants. L’ivre addictif et très vite terminé. Un bon moment de délassement.

A une semaine de son mariage, Zoé se réveille dans une chambre d'hôpital, complètement amnésique après un choc psychologique que personne n'explique. Pendant une semaine, elle devra tout redécouvrir d'elle même au travers de ses proches. Mais ce que lui raconte son fiancé, ses parents, son frère, sa sœur, sa meilleure amie, peut elle vraiment s'y fier ? Surtout que quand elle fouille un peu, ce qu'elle découvre sur elle même n'est pas très enthousiasmant ! Un roman assez court, qui s'étale sur une semaine, ce parcours d'une femme qui doit tout réapprendre d'elle même est intéressant, c'est bien écrit, la psychologie des personnages n'est pas sommaire. Il y a beaucoup de digressions, forcément, mais ce n'est pas tortueux. L'intrigue se termine sur une note douce amère plutôt bienvenue et le dénouement, plus psycho-sentimental qu'autre chose, n'est pas vraiment hyper original, ni glauque, ni cul-cul la praline. Bref, c'est un roman équilibré.