Rosa candidaAuður Ava Ólafsdóttir
10 éditions
Rosa candida
Le Grand Livre du mois, 2014
Grand Format
Auður Ava Ólafsdóttir
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17 avis sur ce livre
- Les partages de Sophie- 30/06/2021Douceur Lenteur Candeur PudeurCe qui m’a d’abord attiré dans ce livre est la couverture que je trouve très jolie mais aussi le titre ( d’ailleurs il ne colle pas très bien à la couverture, non ?). Ce conte moderne est l’histoire d’Arnljotur, jeune homme candide qui se révèle à travers la mort (de sa mère), l’amour (par accident), la paternité ( son père est très attachant et sa fille à croquer) et surtout l’apprentissage de la vie (grâce à un moine cinéphile et la culture de sa rose à huit pétales). Après avoir lu ce roman d’Audur Ava Olafsdottir, il me vient des mots en « eur » : douceur, lenteur, candeur, pudeur. J’ai beaucoup aimé « Rosa candida », livre intimiste et poétique.41
- Myrna- 21/07/2024Une histoire attachanteJ'ai beaucoup aimé cette histoire. Je l'ai trouvé bien menée et juste. Le personnage principal m'a ému je m'y suis beaucoup attachée. Il était à la fois drôle, émouvant par l'expression de sa tristesse et touchant par sa timidité. La façon dont il s'empare de son rôle de père et l'hommage qu'il rend à sa mère m'a bouleversé. J'ai passé un agréable moment de douceur baigné par l'odeur des roses.20
- Sandrine1720- 21/04/2024Un sucre d’orgeJe découvre avec un immense bonheur cette écrivaine islandaise qui nous brode une histoire toute en finesse, espièglerie.20
- 3Katlivres- 15/05/2023Doux et poétiqueEn plus d’être poétique, ce livre est très facile à lire. On comprend tout à fait le choix que font les personnages, ce n’est pas édulcoré, ça fait du bien 🌹20
- LaRenardouce- 14/01/2022Une très juste candeurIl est de ces livres si poétique, qu’ils en deviennent incroyables. C’est le cas de Rosa Candida, porté d’une plume magnifique, celle d’Audur Ava Olafsdottir. C’est pour cette raison que j’adore la littérature islandaise, c’est d’une poésie à la fois discrète et qui prend tout le devant de la scène. Le récit est merveilleux, mêlant une histoire familiale particulière qui a donné la personnalité unique du jeune Arnljótur, un jeune homme profondément gentil, admirateur des fleurs et des plantes, un don légué par sa mère disparue dans un accident… Une histoire familiale qui aurait pu faire naître une fleur noire et sombre, mais au lieu de cela, c’est un bourgeon de la plus belle des roses que l’on retrouve en ce jeune. Partant vers une Abbaye mystérieuse et silencieuse qui abrite en ses murs une roseraie célèbre, il se donne pour mission de ré-enchanter ce jardin. Et ce sont nos cœurs et esprits qui le sont ! Le thème du manque affectif, de l’éloignement de sa famille lorsque l’on devient apte à voler de ses propres ailes, le thème de la paternité, de la grâce… Le récit se déroule pour nous montrer que parfois les sombres événements d’une vie peuvent donner lieu à de vrais moments de grâce, et que l’humanité en chacun n’est jamais perdue, à condition qu’on la cultive et qu’on la fasse grandir.20
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