Chroniques de San Francisco. Vol. 7. Michael Tolliver est vivant

Après 6 tomes rythmés, aux dialogues vifs les rendant parfois difficiles à suivre et tenus par une petite intrigue servant de fil conducteur, cet épilogue s'avère mou, long et ennuyeux, conséquence peut-être de la reprise d'une narration de roman classique. Bien que toujours emprunt de cet excellent humour et de sa sensibilité, on ne se plie à l'exercice de lecture que par volonté d'avoir le fin mot de l'histoire des années après sur ces personnages qui nous ont tant touché. Ce livre permet de faire le deuil de cette aventure très sympathique.