La popularité de ce livre sur Gleeph
Résumé
Pierre Vidal-Naquet : On désigne d'habitude par « graffiti » les inscriptions griffonnées à la hâte sur un mur ou sur une vespasienne. En désignant par ce mot les inscriptions manuscrites sur le « livre d'or » d'Auschwitz, Adrien Le Bihan les disqualifie et il a raison. (Préface à la première édition) André Meury : Adrien Le Bihan tente de rendre aux mots le poids qui leur est nécessaire quand il s'agit de la dénonciation de l'horreur. (Le Monde et Le Temps de Genève) Victor Malka : Un livre à lire absolument. (Information juive) Pierre Mertens : La démarche du décodeur se révèle des plus salubres. (Le Soir de Bruxelles) Serge Dieudonné : ... on dirait qu'en une longue théorie de suppliants, un peu désemparée, un peu hagarde, l'humanité comparaît sur le lieu de son malheur... (Esprit) Gérard Guégan : Ces hommes et ces femmes fugitivement confrontés à l'extermination [...], Le Bihan, scribe minutieux, procureur vigilant, les a sortis un court instant du néant. Qu'ils y replongent ! (Sud Ouest Dimanche)