Bacha posh

J'ai eu clairement du mal à décrocher de ma lecture, tellement ce livre a été captivant pour moi. La fin est un peu innatendue et frustrante mais pas mauvaise pour autant car elle donne envie d'avoir une suite

Il est bien

C’était une histoire très touchante qui m’a fait apprendre beaucoup de choses sur les femmes en Afghanistan , un sujet que je connaissais peu ! La fin est un peu décevante je n’aurai pas voulu que ça ce finisse comme ça mais je peux comprendre le choix de l’auteur ! Un conseil : ne lisez pas la quatrième de couverture car pour moi elle spoil la moitié du livre 3/5

J’ai adoré ce livre ! Je l’ai lu en une soirée ! Il démontre plein de choses intéressantes et à savoir ! Conseiller par ma professeur de français. Je ne regrette pas ! ⭐️⭐️⭐️⭐️⭐️/5

J’ai bien aimé ce roman qui nous offre un bref aperçu de l’Afghanistan et qui nous plonge aux côtés de Farrukh, cet adolescent de 15 ans, passionné d’aviron. Un jeune homme libre, aimé, entouré, cultivé, plein de vie et d’espoir. Qui oscille cependant entre deux identités et qui cache un secret inavouable. Je ne connaissais pas cette coutume du Bacha Posh, coutume assez tabou de ce que j’ai pu comprendre… Le roman n’ayant pas une visée sociologique, le lecteur n’en apprendra pas davantage. C’est dommage, car il s’agit d’un vaste sujet très intéressant et délicat, qui pose de nombreuses questions comme celle de la construction identitaire de ces petites filles à qui l’on impose un nouveau genre, à qui l’on offre de nouvelles perspectives et à qui l’on reprend tout, si soudainement, du jour au lendemain lorsque la puberté (une période déjà bien compliquée à gérer !) pointe son nez. C’est une pratique pour le moins déconcertante. Et ce roman ne nous permettra pas d’en apprendre le comment du pourquoi. Malgré cela, c’est un récit immersif et émouvant. On s’attache beaucoup à Farrukh. Et l’on souffre avec lui/elle lorsque sa soif de liberté est brusquement mise à mal. On étouffe, on se révolte contre ces jalousies, ces rivalités au sein de la “fratrie” engendrées par son statut de “fils priviligié”. Et l’injustice que l’on éprouve quant à la place des femmes dans ces sociétés patriarcales... Bref, ce récit, c’est un petit condensé d’émotions et, de ce point de vue, c’est une réussite ! C’est en quelque sorte un roman d’initiation, qui met le doigt sur une coutume particulière et qui donne l’envie d’en apprendre davantage sur le sujet ! Autre bémol cependant, la fin, que j’ai trouvée précipitée. Encore une fois, on aurait aimé en savoir plus ! Que devient Farrukh ? Et ces fameux jeux olympiques ?? La chute est abrupte, je suis restée sur ma faim, c’est dommage, vraiment… C’est donc une histoire fluide, portée par une plume agréable mais qui souffre d’un manque d’approfondissement. Une lecture prenante, bien qu’en demi-teinte, qui pourra se révéler frustrante pour certains mais qui n’en reste pas moins une belle découverte.