Honnêtement, j'ai eu beaucoup de mal à le démarrer. Pour cause : son écriture d'une richesse à se faire pipi dessus ! Mon vocabulaire n'est clairement pas assez fourni pour apprécier à 100% le récit, ce qui ne m'a pourtant pas empêché de l'aimer. Cédric Blondelot nous embarque, dès les premières lignes, dans une histoire qui fait sens, mais avec un style que je qualifierait d'assez « farfelu ». J'adore le farfelu, personnellement ! Ce que j'ai trouvé de très intéressant, au début, c'est l'exposition du récit : comme un travelling optique, Mirabelle est un zoom, un voyage qu'on ne peut saisir qu'à la découverte de son dernier possesseur. Dès les premiers mots de la deuxième partie, nous rencontrons Tolbiac adulte. Un homme qui ne prend pas la vie comme les autres, puisque la sienne a commencé comme personne. Le protagoniste nous communique des émotions et des sentiments d'une façon aisément réceptive, partageant son amour, sa haine ou son dédain pour le reste de l'humanité. Rapidement, on est pris d'affection pour lui, partageant ses joies, ses peines, ses doutes et ses peurs. Tolbiac est cynique, drôle, honnête, en colère, triste, réel. Éternel insatisfait qui, pourtant, avait tout pour être heureux
⭐⭐⭐⭐,5
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