"Ce n'était pas suffisant de dire ce que l'architecture créait, elle demeurait aussi en ces choses qui se décomposaient, disparaissaient. Elle était cette tension permanente entre le vide et le construit. Aux yeux de Savvas, Varosha par sa mort s'était hissée au panthéon de l'architecture ; les herbes folles, les arbustes épineux, les murs qui s'affaissaient complétaient ce que Giorgos et lui avaient, chacun à sa façon, édifié. L'œuvre humaine était par définition incomplète, inachevée. Il fallait attendre que le temps laisse son empreinte, quitte à tout perdre."
Genius loci
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