Le propos est dense. Un texte court, plein de désespoir. Dagerman, qui s’est suicidé peu après avoir écrit ces lignes, présente la vie comme un fardeau. Il nous livre sa solitude et ses débats intérieurs avec précision. Il revient souvent sur l’idée selon laquelle il faut se sentir esclave pour se sentir libre. Il explique que la conscience de la mort est un frein à la liberté.
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Notre besoin de consolation est impossible à rassasier
Désespoir
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Notre besoin de consolation est impossible à rassasier
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