Un voyage déroutant de plus de mille pages qui défilent pourtant comme une nouvelle, sans interruption, chapitre ou respiration.
Un univers qui m’a parfois dérangé, un récit qui semble écrit d’une traite, aux phrases longues, une tranche de vie ponctuée de personnages hypersexuels à la libido exacerbée par la prise de produits à la composition mystérieuse.
Un livre qui ne laisse pas indifférent et une intrigue que l’on n’abandonne pas facilement ; sans pouvoir dire toutefois si c’est l’envie d’en connaître le dénouement ou celle de souffler, enfin libéré de l’emprise de ces esprits torturés.
« Rabalaïre » est un ouvrage que j’ai plutôt envie de qualifier de « performance artistique » que de roman.
Drôle de quête…
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