La lecture des 12 nouvelles de Mariana Enriquez, m’ont laissé dubitatif. Autant, j’ai été ébloui par les nouvelles intitulées : « l’enfant sale » et « sous l’eau noire », autant les autres m’ont moyennement convaincu.
J’apprécie toutefois le style de l’auteure qui n’hésite pas à flirter avec le fantastique.
Je lirai quand même son livre intitulé : « notre part de nuit. », dont les critiques ont été dithyrambiques.
Une petite déception
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Ce que nous avons perdu dans le feu
Mariana Enriquez
Romans
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Le temps est une mère : poèmes
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Mâchoires
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La première veine
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L'obscurité est un lieu
Ariadna Castellarnau
FranKISSstein : une histoire d'amour
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D'enfers et d'enfants
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