Un moment de lecture agréable mais je ne recommanderais pas ce roman
« La nuit sacrée » de Tahar Ben Jelloun a remporté le prix Goncourt en 1987. C’est le deuxième ouvrage de l’auteur marocain que je lis (j’y reviendrai plus tard).
L’histoire commence lorsque le père de la protagoniste meurt durant la vingt-septième nuit du mois de ramadan. Cette mort permet à la protagoniste de s’émanciper. Zahra se débarrasse du secret que lui faisait porter son père, quitte le reste de sa famille et s’en va sur les routes en solitaire.
Ma note positive est que j’apprécie la plume de l’auteur qui sait créer des atmosphères et susciter des sensations. Mais je n’ai pas accroché avec le roman. Il y a trop d’incohérences. Pourquoi est-ce une vieille femme qui parle au début ? Que signifie cette fin étrange ? Comment relier la vieille femme du début du récit et cette fin ? Je n’ai rien contre le fantastique, au contraire, j’aime quand le rêve se mêle au réel, mais là c’est trop embrouillé.
Pour conclure, c’était un moment de lecture agréable mais je ne recommanderais pas « La nuit sacrée », contrairement au roman « Le mariage de plaisir » publié en 2016 que j’ai beaucoup aimé.
Et vous ? En accord ou en désaccord avec moi ?
Un moment de lecture agréable mais je ne recommanderais pas ce roman
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La nuit sacrée
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