Même au fin fond du puits, quelques rayons de lumière nous atteignent. Un pas après l’autre, avançons. On ne peut pas tout arrêter sous prétexte que c’est la fin d’un monde : l’habitude, ce sauveur inattendu.
On ne peut pas comprendre Kertész, et c’est bien tout le problème posé par le livre. J’ai passé mon temps à être interloqué. Être sans destin est peut être le dernier chapitre de la littérature des camps.
Être sans destin
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