L’écriture de Marguerite Duras nous transporte dans cette chambre où l’amour y est impossible mais brûlant, urgent, destructeur. On arrive à sentir la chaleur du lustre sur notre peau, la soie noire sur notre visage, le contact des mains, des corps qui se touchent à peine et des larmes, toujours les larmes. Les didascalies nous arrachent brusquement de cette chambre où la mer et l’amour cognent, s’emmêlent avec violence.
Un huit clos étouffant
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Les yeux bleus cheveux noirs
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