On suit le parcours de deux jeunes frères et sœurs.
Polonais et juifs, à la mort de leurs parents en 1941, ils se retrouvent dans un orphelinat où il sont cachés.
Puis un jour, Dorian disparaît après avoir lâché la main d’Anna.
Depuis ce jour, Anna n’a jamais retrouvé la trace de son frère.
Elle est ensuite adoptée par une grande musicienne, qui va continuer de lui enseigner le piano.
“Jouer c’est résister”, pendant la guerre, continuer de jouer sera leur manière de résister.
Bien des années après avoir perdu son frère, elle ne perd pas espoir de le retrouver un jour, elle le sent au fond d’elle, il n’est pas mort.
J’ai tout aimé dans ce graphique !
Autant l’histoire en elle même, que les graphiques qui sont magnifiques.
Les jeux de couleurs sont vraiment splendides.
Les dessins transmettent une telle douceur, en opposition à l’histoire qui se déroule.
Bien que doux, certaines planches, notamment celles avec son frère sont d’une grande noirceur, terrifiante.
Un ouvrage émouvant, délicat et poétique.
Coup de coeur pour ce graphique ❤️
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