⭐️⭐️/5

J’ai trouvée le livre… décalé ? 😐 Je n’ai pas grand choses à dire, je ne sais toujours pas ce que j’ai ressentie pendant ma lecture, une chose certaine : ce n’était pas forcément positif. 🥺 L’écriture est excessivement et inutilement lourde. Pourquoi autant de paragraphes alambiqués ? Et puis le fond ? Tout cela pour ça ? Tout ces détours pour ça ? Quelque chose de devinable tellement rapidement ! Et les personnages, tellement, tellement agaçants. 🙄 Indigo est détestable, avec cette aura mystique qu’elle se donne uniquement pour ce la jouer. Et puis Azur, qui devient au fil des pages un genre de Toutou tellement docile. « Le fiancé » est tellement placide, sans intérêt. À se laisser mener par le bout du nez, je déteste les personnages qui manque de caractère, qui accepte de ne pas avoir voix au chapitre. 😅 Le plot twist n’a pas été une surprise, et les dernières pages m’ont un peu choquée, comme ci il n’y avait rien eu de problématique ??? Et au final, les contes n’apportent rien de concret à l’histoire… pourquoi ? Lire les (trop) nombreux monologues du « Fiancé » qui s’écoute parler n’a mené à rien ? Abadakor mon pote, enlevez lui les contes et il n’a plus rien à dire ! 🤡 L’ambiance était sombre. L’histoire de la jeune Azur m’a quand même percutée. Cette hypersexualisation, le malheur de porter les traits de sa mère, jeune, la prédation dont elle est victime… ça m’a touchée. J’ai été infiniment triste pour elle. De voir qu’elle n’avait qu’une envie : s’arracher de son propre corps, changer le plus possible, c’était intense de réalisme. 😟 Tati a été un petit coup de cœur, c’est incontestablement une femme que j’aurais aimé avoir comme parente. Et j’ai adoré la vivacité d’esprit de La Maison Des Rêves. 🩵 Il semblerait que j’avais des choses à dire, finalement… 🙃