"Le temps d'un souffle je m'attarde" est une novella SF d'une centaine de pages écrite en 1966, malgré ses 56 ans, ce récit reste très moderne et nous embarque sur Terre bien après la disparition des êtres humains.
Des supers ordinateurs sous forme d'entités géométriques ont été laissés en fonctionnement et on toute l'éternité pour faire fonctionner leur intelligence.
L'un d'entre eux va se voir vouloir comprendre ce qu'était un "humain".
De là vont découler des pensées et des réflexions philosophiques entre les ordinateurs.
Je n'en dit pas plus car le récit est court mais sachez que malgré les apparences, le récit est très compréhensible et agréable à lire, je regrette juste que cela n'est pas été un peu plus long.
La fin est "surprenante".
Encore une fois cette collection "Dyschroniques" du Passager clandestin nous offre un texte d'un grand auteur de SF et surtout un texte de qualité qui donne à réfléchir.
Si vous aimez la science-fiction et ne connaissez pas cette collection vous devriez vous y pencher car ce sont plusieurs textes courts très intéressants qui s'y trouvent.
Philosophie artificielle !!
4aiment∙0commentaire
Votre commentaire...
Le temps d'un souffle, je m'attarde
Roger Zelazny
Science-fiction
Nous mourons nus
James Blish
Destination fin du monde
Robert SILVERBERG
La fabrique des lendemains
Rich Larson
Symphonie atomique
Etienne Cunge
De l'espace et du temps
Alastair Reynolds
After
Auriane Velten
Opexx
Laurent Genefort
Vigilance
Robert Jackson Bennett
L'arithmétique terrible de la misère
Catherine Dufour
L'oeil du héron
Ursula K. Le Guin