Compliqué ma foi...

Le scénario qui positionne un deadshot au long du titre mensuel qui lui sera consacré orchestré par Ostrander et Yale sur 4 numéros en 1988 est inconstestablement bon. On y retrouve tous les traumas et troubles qui ont entraîné Floyd Lawton à devenir autant tueur (à gages) psychopathe que suicidaire. Non ce qui ne me plaît pas personnellement - mais à la fois bien pensé et bien scénarisé -dans l'histoire c'est le dernier ressort malsain utilisé pour faire dégoupiller Lawton. Mais ne serait ce que pour le one-shot 'Lâches et Superstitieux' à la suite dans le volume, ça vaut l'achat