Carocolac- 27/10/2024

Je reste sur ma faim

C’est agréable à lire mais sans plus. J’ai trouvé ce roman assez dépouillé par rapport à la saga des déracinés. Pour moi, Catherine Bardon s’est contenté surfé sur la vague Je ne retiendrai pas la jeunesse viennoise d’Almah, mais cela n’enlève en rien la beauté de la saga des déracinés qui mérite son succès