C’est agréable à lire mais sans plus. J’ai trouvé ce roman assez dépouillé par rapport à la saga des déracinés.
Pour moi, Catherine Bardon s’est contenté surfé sur la vague
Je ne retiendrai pas la jeunesse viennoise d’Almah, mais cela n’enlève en rien la beauté de la saga des déracinés qui mérite son succès
Je reste sur ma faim
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Almah : une jeunesse viennoise : 1911-1932
Catherine Bardon
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