Il faut s’accrocher un peu mais une fois les premiers chapitres passés c’est wow
Ce sentiment de refermer un livre, de se dire qu’on est content d’être allé au bout malgré une première impression peu flatteuse, parce qu’au final ce fut un délice.
Clairement sur les 60 première page je n’aurai pas parié sur Julia la nuit malgré une quatrième de couv intéressante :
Julia tient un bar de nuit depuis des lustres. Ce vendredi soir commence comme d’habitude par l’afterwork, groupes de potes et premiers rendez-vous Tinder, jusqu’à ce qu’un frisson vienne la chatouiller. Une émotion anormale, une gêne persistante dans l’atmosphère. Quand son regard croise celui de Vincent, un type qui ressemble à n’importe quel autre, le frisson se transforme en décharge électrique. Ils sombrent alors dans une frénésie sexuelle outrancière.
Mais Vincent n’est pas celui qu’il prétend être, et Julia non plus, d’ailleurs. Dans ce jeu de dupes auquel chacun succombe, lequel des deux est la proie et lequel le prédateur ?
Julia, la nuit est une invitation à explorer nos fantasmes les plus immoraux et une description sans fard de l’animalité qui sommeille en chacun de nous.
Parce qu’au début le rythme est un peu trop lent à mon goût, les actions un peu trop redondantes et on ne comprend pas trop où Frédéric Béranger veut nous emmener malgré une plume agréable.
Et puis à partir du chapitre 5 tout se bouscule, le rythme s’accélère, l’histoire devient addictive. Dire que j’ai mis un mois pour arriver à ce chapitre 😅, si j’avais su j’aurai accéléré la lecture des premières pages pour arriver au cœur du sujet et de l’excitation qu’il procure bien plus rapidement !
Je ne peux pas tout vous livrer ici, sinon je vais vous gâcher le plaisir de la découverte ! Mais une chose est sûre, si vous aimez la Dominantion féminine sexualisée, et l’humiliation vous allez adorer Julia la nuit.
Et c’est marrant la Dominantion féminine qui avant ne réveillait rien en moi, petit à petit commence à me donner des sensations au creux du ventre. Probablement parce que c’est bien écrit et bien emmené, et que l’on peut facilement imaginer ce que ça pourrait donner sous un autre angle.
Autre leçon que je tire de cette lecture, c’est que de continuer une lecture qui de prime abord ne nous plait pas, peut finalement cacher de belles surprises ! Et j’avoue qu’avant d’être en partenariat avec certaines maison d’édition j’avais tendance à stopper mes lectures si je n’accrochais pas, maintenant je me fait un devoir de lire de bout en bout histoire de pouvoir faire une critique valable avec des arguments 😂.
En résumé Julia la nuit est un roman de fantasy surnaturelle, avec une jolie dose de Domination et de sexe. L’écriture de Frédéric Beranger est un délice ! Et si comme moi, vous vous ennuyez sur les premiers chapitres, je vous conseille de persister car la suite est extrêmement excitante.
Il faut s’accrocher un peu mais une fois les premiers chapitres passés c’est wow
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