Loooong...

A la lecture de la quatrième de couverture, je m'attendais à une compilation d'analyses fines et détaillées des différentes œuvres du maître, et je me retrouve à lire une apologie du film Le Vent se lève : sur plus de 200 pages que compte le livre, les trois-quarts traitent du traumatisme de la guerre vécu par Miyazaki et de sa passion pour les avions, qu'il a placée au cœur de son œuvre. Il n'était pas nécessaire de s'étendre autant sur ce fait. Un paragraphe m'a suffi pour comprendre d'où venaient les scènes de chaos que l'on peut voir dans la plupart des films de Miyazaki... La lecture n'est pas plaisante, l'écriture est laborieuse : on s'ennuie vite à tourner en rond au milieu de pages qui se répètent, encore et encore, et qui sont, de plus, jonchées d'erreurs syntaxiques, orthographiques et grammaticales. Finalement, c'est plus un recueil de dissertations étudiantes qu'un ouvrage de référence...