Louise a disparu.
Voilà, ça commence comme ça.
Elle a disparu. La police s'en fout, encore une vieille qui perd la boussole. Part au sud et qu'on retrouve aile nord, hôpital du coin. Ou pas. Comment savoir.
Rentrera peut-être demain.
💋 Son voisin s'inquiète.
Son voisin qui la connaît depuis si longtemps. Lui que Louise a oublier. Même qu'il ne lui en veut pas. Se souvient de ces vacances, le soleil, l'appareil photo, le baiser, un seul, comme ça, comme volé, frôlé. Un baiser pour rien.
☎️ Alors il téléphone à Julien.
Le fils.
A Paris.
Photographe.
Le fils fâché, maman s'est effondrée tu vois, comme se construit-on sur les décombres de sa maman. Quand y a même pas de papa. Paraît qu'il a foutu le camp en Argentine. Qu'il est mort et qu'il ne faut pas être triste.
🚘 Il prend la route, Julien.
Il prend les souvenirs pleine gueule.
Elle est où, la mère ?
Hein, elle est où puisqu'il ne faut pas être triste.
🤍 Jamais pathétique, jamais brutal, Éric Genetet trouve les mots justes pour s'immiscer dans ce lien si particulier, mère et fils.
Une histoire de rédemption. De pardon. D'amour.
Les mots justes
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