Patou le chaud est un coureur invetéré. Quelle ne fut pas son impatience lorsqu'il décida de ramener chez lui ce livre au concept charmeur : vous, dans le cerveau d'un marathonien de haut niveau. La lecture s'est averée aussi poussive et dénuée de plaisir qu'une séance de VMA un lendemain de cuite. La bile au bord des lèvres pendant 150 pages. La "petite voix" de Bikila, le soldat d'origine modeste, était donc celle d'un professeur de philo de province citant René Char (mais relisez René Char, bon sang), le cantique des cantiques, Philostrate (??!!), Virgile et Offenbach) dans une accumulation de phrases verbeuses et stylistiquement vaines. Passons sur les énormités que relèveront les coureurs maniaques, rappelons cependant que qui court trop vite, risque de se perdre en chemin. (
Décevant
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