Nathan- 09/04/2023

Mitigé, un dilemme personnel

Au premier abord, l'insistance du narrateur sur le fait que l'Arabe de Camus n'a pas de nom m'a énervé, car très honnêtement on s'en fiche. Puis, quand il a commencé à plus raconter sa vie que la mort de son frère, il m'a intrigué. Puis il a commencé à reprendre le "Mythe de Meursault" (si vous me permettez l'expression), et j'ai eu la sensation à la fois de lire un nouveau point de vue intéressant, mais aussi de relire l'Étranger. C'est dommage, il aurait fallu, selon moi, que ce soit plus subtil pour que ce soit un sans faute. Bonne lecture ! ;)