Au premier abord, l'insistance du narrateur sur le fait que l'Arabe de Camus n'a pas de nom m'a énervé, car très honnêtement on s'en fiche. Puis, quand il a commencé à plus raconter sa vie que la mort de son frère, il m'a intrigué. Puis il a commencé à reprendre le "Mythe de Meursault" (si vous me permettez l'expression), et j'ai eu la sensation à la fois de lire un nouveau point de vue intéressant, mais aussi de relire l'Étranger. C'est dommage, il aurait fallu, selon moi, que ce soit plus subtil pour que ce soit un sans faute.
Bonne lecture ! ;)
Mitigé, un dilemme personnel
0aime∙0commentaire
Votre commentaire...
Meursault, contre-enquête
Kamel Daoud
Romans francophones
Le quatrième mur
Sorj Chalandon
2084 : la fin du monde
Boualem Sansal
Frères migrants
Patrick Chamoiseau
Notre-Dame du Nil
Scholastique Mukasonga
Allah n'est pas obligé
Ahmadou Kourouma
Des hommes
Laurent Mauvignier
Murambi, le livre des ossements
Boubacar Boris Diop
Syngué sabour : pierre de patience
Atiq Rahimi
De nos frères blessés
Joseph Andras
Tristesse de la terre : une histoire de Buffalo Bill Cody : récit
Eric Vuillard