Toujours aussi appréciable!

Huitième tome des péripéties de Erica Falck & Patrik Hedström! La faiseuse d’anges était similaires aux autres opus ! La recette du succès de cette saga policière suédoise reste inchangée on prend les mêmes ingrédients: le même schéma narratif les mêmes protagonistes le même cadre et on recommence ! Il faut avouer que ça s’avère être plutôt efficace puisque je ne me lasse absolument pas je suis encore une fois conquise par cette fluidité ce retour à la source pour retrouver des personnages familiers avec des enquêtes différentes , un grand nombres d’analepses qui nous éclaire au fur à mesure ! L’autrice parsème lentement des indices joue avec nos nerfs je me fais à chaque fois berner et ne démasque (presque ) jamais celui où celle qui a fait le coup ! Camilla Läckberg se penche ici sur un fait divers glaçant datant de plus d’un siècle : une femme condamnée à mort pour infanticide . Plus tard un drame va se jouer sur l’île de Valö (décidément cette île est maudite si vous avez lu Cyanure où Martin Molin est le personnage principal de ce cours récit il s’est passé des événements tragiques dans ce petit coin de paradis ..) Une famille entière disparaît lors d’un repas de Pâques et personne ne sait où ils sont passés ils se sont comme évaporés pas de traces de sang de corps . 30 ans après cette tragédie un élément nouveau va permettre de relancer cette vieille enquête non résolue ! De quoi donner de la matière à Erica qui écrit un ouvrage sur l’histoire de cette île . Elle va empiéter sur le territoire de la police et embêter gentiment son conjoint qui a du mal à l’empêcher de mettre son grain de sel dans les enquêtes et fouiner… Mais comme d’ordinaire elle va être d’une aide précieuse pour l’avancement des investigations! Une histoire encore captivante , une plume dont je ne peux me passer , qui me fait toujours passer un excellent moment !