C’est le livre le plus difficile humainement que j’ai eu à lire, j’ai parfois même pensé qu’il fallait arrêter mais tout comme l’auteur, le lecteur, « s’adapte » à l’atrocité, la barbarie, la noirceur la plus profonde de l’être humain. Comment l’homme peut-il infliger tant d’horreur à un être humain par idéologie? On accompagne l’auteur dans ce processus de déshumanisation et de solitude. Une lecture dont on a beaucoup de mal à se défaire et qu’il est impossible à oublier.
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La coquille : prisonnier politique en Syrie : récit
Comment nommer l’innommable ?
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