Frida est divorcé elle a la garde partagée avec Gust elle a la bonne idée de laisser sa fille de 18 mois Harriet seule 2h dans un trotteur avec 2 biscuits posés sur la table basse et la baie vitrée entre ouverte pour aller chercher un dossier au travail ,ses voisins la dénoncent à la police, les services sociaux le SPM lui enleve son enfant, dans cette dystopie les services sociaux sont radicaux aucune erreur n'est permise, l'assistante sociale fait exprès d'arriver en retard aux visites sous surveillance pour que Frida passe le moins de temps possible avec sa fille,tout lui est reproché elle est condamné pour délaissement et négligence la petite Harriet ira vivre avec son père et sa nouvelle femme, elle doit intégrer un programme de rééducation maternelle pour lui apprendre d'être une bonne mère, elle va devoir s'entraîner sur des enfants moitiés poupées moitiés robots, elle doit complètement s'oublier pour son enfant, être en vigilance permanente devenir parfaite chose impossible,ce qu'elle apprend est contradictoire les sévices physiques sont évidemment interdit mais les maîtresses (professeurs) doivent frapper les poupées ( l'éducation bienveillante prend un coup dans pour gueule) pour qu'elles pleurent et que les mères consolent les enfants le plus vite possible elles sont chronométrées comme les câlins ils ne doivent pas durer trop longtemps pour ne pas emprisonner l'autonomie des enfants, elles sont sous le jugement constant malgré son implication Frida ne fait jamais assez bien elle peut parler à sa fille que si ses résultats sont bon et passe plusieurs mois sans lui parler, l'intérêt de l'enfant est complètement oublié, pour couronner le tout l'institution est homophobe aucune relation entre femmes n'est acceptée.
Je n'ai eu aucune empathie pour Frida qui laisse sa fille seule chez elle ne l'a mettant même pas en sécurité, les personnages sont tous détestables mention spéciale pour Suzanna la femme de Gust qui se fait passer pour une femme parfaite du genre qui vous fait lever les yeux au ciel toutes les 2 secondes, certaines mères qui ont maltraités leurs enfants méritent d'être là elles auraient même dû être en prison, on a l'impression qu'il n'y a que le sexe qui motive c'est femmes qui sont prêtent à coucher avec le premier vigil qui surveille l'école, Frida reconnaît qu'elle a eut des pratiques sexuelles dangereuses avec des hommes,l'autrice fait constamment référence au sexe et pratiques sexuelles qui n'ont aucun intérêt et ne sert pas l'histoire ça finit par être écœurant, la lecture n'est pas fluide mais je voulais tellement connaître la vie dans cette école que j'ai fini par me prendre au jeu on veut savoir jusqu'à quelle degré ils vont pousser le vice, l'auteur devrait quand même se renseigner un minimum sur le développement de l'enfant il ne peut pas dire "Va t'en " à 18 mois ou faire un dessin concret qu'un pedopsychiatre pourrait étudier ,cette histoire fait froid dans le dos surtout en étant une mère et dont le travail est de s'occuper des enfants
Mères parfaites
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Super bien, merci
Monica Heisey