QTXXI- 04/04/2020

Un pour cent

Le pitch est simple et pourrait faire une émission géniale avec les participants des anges de la téléréalité. 100 garçons marchent pour la gloire, pas d'abandons possibles sans peine de mort directe. À l'instar de Boris Vian, Stephen King se choisi un pseudo pour passer des hotels hantés et des enfants au pouvoirs mysterieux à la dystopie. Et c'est très réussi. Il nous emmène à travers les pages sur une course mortelle ou baisser le rythme est fatal. Et de rythme le livre n'en manque pas. C'est simple, en lisant ce roman, vous aurez le sentiments d'être à bout de souffle comme les participants de ce divertissement macabre. Une fresque montrant jusqu'où ces garçons sont prêts à aller pour la gloire, et où les spectateurs sont friands de drames en direct.