Mouais

Ça partait pourtant bien. La couverture est attrayante, le résumé également. Malheureusement c’est loooooong à se mettre en place. Il n’y a pas vraiment de rythme, enfin si mais dans les 30 dernières pages. C’est l’histoire de Gontran Pelpoir, professeur d’université, latiniste et spécialiste de civilisation romaine et également écrivain. Sa vie est toute rangée. Un jour son éditrice lui propose d’écrire la suite de Peter et Eliott le dragon. Il refuse, mais fini par accepter. Il va donc écrire son 1er roman jeunesse : Prouf le dragon qui pete. On est loin des fables d’esope qu’il a l’habitude d’écrire. Son roman connaît un vrai succès, et il doit aller à la rencontre de ses lecteurs, or il y a un soucis : il DÉTESTE les enfants !! C’est simple il a eu 4 histoires d’amour qui se sont toutes soldées par une rupture car elles désiraient des enfants et pas lui. Bref, à la suite de ce succès littéraire il est invité en Presigurie, une île perdue en Méditerranée, par le roi Marlus 1re contre une très grosse somme d’argent. De là vont s’enchaîner les péripéties les plus absurdes possibles et inimaginables. Bref ça part un peu dans tout les sens. A la fin on apprend que la secrétaire du roi fait partie de la mafia Russe et qu’avec le roi et l’archevêque ils trempent dans de sales affaires de trafics. Que ni la reine ni le roi ne sont les vrais parents de Bianca ( bon le père on le savait dès le début). Que sa vraie mère est la gouvernante, et que son père n’est autre que …. Gontran ! Voilà voilà…. Il y a du russe, du latin, de l’italien. Dommage.