em_lire_delivre- 02/02/2024

« J’émets le vœu de te manquer quand tout cela sera terminé »

Suite à la publication de son article sur son histoire avec son petit-ami, la vie de Eliza se retrouve chamboulée. Parce que tout dans cette histoire est fictif, surtout le soi-disant copain en question. Mais les gens veulent le rencontrer. Elle va trouver Caz, acteur montant du cinéma pour lui proposer de jouer ce rôle. Mais bientôt, il devient compliqué de ne pas s’attacher alors qu’elle apprend à le connaître. On rencontre Eliza qui refuse de s’attacher pour ne pas souffrir à cause des nombreux déménagements de ses parents. En maintenant une distance avec les personnes qu’elle rencontre, elle s’évite la peine de les voir s’éloigner. Quant à Caz, c’est un garçon sûr de lui. Pourtant, les apparences sont trompeuses. Il se pourrait bien que cet homme soit bien plus que ce qu’il laisse paraître. Et ça, Eliza s’en rend compte. C’est désormais bien plus compliqué de ne rien ressentir. Elle refuse pourtant de se bercer d’illusions. Eliza est très attachante et Caz est si prévenant. Je vous jure, j’ai fondu en lisant leurs échanges. 💕 Des échanges qui sont aussi très amusants. J’avais constamment le sourire aux lèvres. 🫶 Petit coup de cœur pour cette romance doudou. J’adore la trope fake dating ! On sait comment ça va se finir mais le plus intéressant, c’est voir l’évolution de cette histoire entre nos personnages. La relation entre Caz et Eliza est si douce. Elle est drôle et touchante, tous les ingrédients pour passer un bon moment. 🥰 Le slow burn était si bien écrit, j’ai eu des papillons dans le ventre. 🦋 Leur histoire est si mignonne, j’ai adoré ! Un sans faute pour moi. C’est un young adult (je développe un amour pour ce genre 🤗) parfait. Je vous le conseille à 1000%. Vous allez passer un super moment ! ✨ * « - Tu sais bien que ce n’est pas ce qui compte pour moi. - Qu’est-ce qui compte pour toi ? - Toi. C’est toi que je veux, Eliza » « Arrête de vouloir tout contrôler. Tu ne peux pas décider de ce que les gens ressentent. De ce que moi, je ressens… » *