Mimi- 09/06/2024

Voltaire et la musique, ça fait pas bon ménage!!

Dans ce 11ème tome, Voltaire s'essaie à la création d'un opéra qui doit être jouer à Versailles devant le roi, espérant ainsi être ENFIN reconnu à sa juste valeur, comme l'immense philosophe qu'il est. Bien évidemment, les ennuis le suivent toujours de près et c'est tous naturellement qu'il se retrouve à enquêter sur ses compagnons d'opéra, d'où le titre "Mélodie pour un tueur". Fini le lieutenant Hérault parti à la retraite, c'est l'inspecteur Tamaillon qui le remplace. Moins incisif et soupçonneux que le lieutenant (il ne connaît pas encore bien les ruses de Voltaire), il patauge un peu et a du mal à se faire sa place. Pas facile d'exister après un personnage comme René Hérault. Dans ce tome, on croise aussi un certain Jean-Jacques Rousseau, qui arrive tout droit de Genève et qui au début voue une admiration à Voltaire, beaucoup moins à la fin. D'où le fameux "C'est la faute à Voltaire" 🤣.