Primo Levi raconte ici son vécu de la libération d’Auschwitz jusqu’à son retour à la maison à Turin plusieurs mois plus tard. Il se retrouve avec un groupe de compatriotes soumis aux désiderata d’Union soviétique désireuse de bien faire mais totalement désorganisée. Au travers des anecdotes, on constate que l’Europe de la fin de la guerre est une immense Tour de Babel où se mélangent les nationalités des populations déplacées, des individus ayant eu des expériences très différentes au cours du conflit et de nombreux enfants égarés et femmes perdues. Le retour avec des trains mal acheminés, ravitaillés jusqu’à Turin constitue un témoignage historique fort d’une réalité historique que l’on a un peu oubliée.
Témoignage fort
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