Les 3 premiers chapitres annoncent la couleur : violences, horreur et injustice. Bon, il ne s'agit en fait pas que des 3 premiers chapitres mais bien plus. C'est glaçant. On entend parler du génocide Arménien, mais on ne réalise pas.
L'auteur raconte l'histoire de sa grand-mère telle qu'elle la lui a racontée, mais il la romance et ça devient une jolie histoire, avec des personnages attachants, aussi bien féminins que masculins, des vies bouleversantes.
Ai-je déjà dit que ce que j'adore plus que tout dans un livre c'est découvrir le pourquoi du titre? J'ai aimé le passage où on le découvre, mais j'ai encore plus aimé qu'on y retourne en fin de roman, et où le titre sera en fait la clé de quelque chose...
Un très beau récit
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