Pas plus que ça…

Ce livre ne restera pas dans mes meilleurs souvenirs de lecture ; certes la nature ( faune et flore bien documentées) y tient une place prépondérante, nous rappelant sa nécessaire protection et son respect , mais la violence ordinaire, quotidienne de tous les hommes ( ou presque) de la contrée, contrebalance et salit cette atmosphère. Cette dichotomie est peut-être voulue par l’auteur , attirant notre attention sur les nécessaires protection et respect des femmes et des animaux domestiques mais on atteint des paroxysmes qui ont focalisé ma lecture… trop c’est trop. J’ai néanmoins aimé la place de la lecture dans ce roman et son rôle libérateur, ça oui !