Comme toujours avec Warren Ellis, c’est juste assez perché et réaliste pour etre flippant.
Une angoisse légère qui n’est pas issue du gore, ni de la violence extrême juste un sentiment que quelque chose ne tourne pas rond chez l’humain et que l’abysse nous contemple, et inversement. De quoi tous nous envoyer à Normal Head.
Quand le cerveau vrille
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